lundi 29 décembre 2008

PIS DROIT ET JUSTICE...

Peuple humilié aux libertés bafouées,
Aujourd'hui bien réveillé, ayant recouvré ses libres de pensées.
Hier communiste, aujourd'hui extremiste, ou sont les centristes?
Voulant la liberté tu as plongé de l'autre coté, mais entre les deux où est le fossé?
Corruption du pouvoir, 
Pouvoir de corruption
saupoudré de beaucoup de religion.

Toute cette belle mixion forme un joli bastillon qui n'attend qu'une explosion.

Apprenons aux enfants l'amour de la patrie!
Appliquons la religion comme matière obligatoire dans nos écoles!
Nous en avons besoin, une croyance en tout, une croyance en rien, une croyance qui les rassurent!

La jeunesse emmerde le front national tu ne t'amuseras pas à le crier là bas.

Alors nouveaux nés devra ingurgiter lait chaud prières et pardon, 
Et tout ca dans le même biberon.

Leur action a un but et ILS diront, Purgeons le communisme! Rapprochons dieu et pouvoir!

lundi 22 décembre 2008

L'art de ne rien faire...

Peur de l'ennui, un ennui vide, un vide qu'il te faut combler,
Peur du rien faire, du rien faire qui te plombe et te plombe encore,
Ce rien faire que si tu ne fais rien te bouffe encore et encore,
Mais d'ailleurs tu n'en sais rien, parce que tout simplement tu ne sais pas quoi faire;
Faire, faire quoi?
Tu as besoin d'inspiration, l'inspiration tu peux la faire de rien, de trois fois rien!
PRODUIRE! PRODUIRE! Vite vite, tu en as besoin!
Qu'est ce qui se passe sur terre? C'est quoi tous ces faits qu'on déblatère avec des oeilleres et un coeur de pierre?
Oui mais toi tu en as besoin, venir te nourrir comme une vipére; faire et refaire, tu n'as pas besoin de plaire ou de déplaire, tu as juste à cracher ton venin amer sur ces faits d'hiver, juste montrer à tous le monde que tu peux le faire! Et tu te moques de celui qui va se taire, qui au jeu du bras de fer ne saura rivaliser qu'avec un poignet de verre. Et celui la s'il n'est rien capable de faire que de se taire au moins il se laissera faire plutôt que de ne rien faire.
Et se ne sera pas pour te déplaire.

dimanche 21 décembre 2008

Patriotisme architectural.

Architecture de la puissance réduit à l'impuissance.


OJCZYZNE KOCHAMY NIE DLATEGO, ZE JEST WIELKA ALE DLATEGO ZE NASZA!

2 collages format A5 (en tout série de 8 collages, certains plus grands) réalisés à partir de photos argentique sur l'étude des architectures de la puissance dans les environs de poznan.


Ma période, la tienne,
Mon pays , le tiens,
Question d'égaux,
Question de partage,
Revolution et tapage,
On t'as trop polis,
Toi tu as trop obéis,
Une machine qu'on dope
Et te voila à sa botte.

collages photos

samedi 20 décembre 2008

Performance polski

Bon la vidéo est d'une qualité plus que médiocre! elle n'est pas regardable mais bon.

Donc c'est le début d'un projet en reaction à la conférence de poznan sur le climat et le dévelopment durable qui a eu lieu en decembre. La pologne le pays le moins écologique en union européenne choisie pour une conférence d'ordre mondiale en plus. ca m'as laissée sur ma fin. 
A vraie dire ils ne sont pas sortit de lauberge nos amis polonais en ce qui concerne la protection de la planéte, ils polluent pas mal avec leurs usines à charbon, ils ne trient même pas le verre des autres matériaux, enfin bref; Je ne suis pas là pour faire une critique, ca n'est pas du tout mon genre ( à vous de voir!).J'ai seulement décidée de leur donner un petit coup de main! A ma manière! Bien sur ce n'est qu'un premier jet. j'y travaille encore. 

Mais parlons un peu du lieu. C'est une sorte de friche que j'ai découvert en me promenant. Lieu qui m'as de suite paru follement intéressant. Je me suis donc renseignée. C'est un ancien théatre, quand je dis ancien je ne suis legere car il n'en reste que de modestes escaliers en ruine pris par la nature (ou de tps à autre par quelques poivrots bien sur) et ce qui devait etre une grande scene. Cette "scéne" (qui n'est qu'un espace bétoné) est recouverte de milliers de tessons, de verres brisés de bouteilles de vodka principalement. 

Ma première mission a était de laver cette friche. D'utiliser ma maniaquerie quotidienne (ahahah) pour rendre ce lieu visible. 
La deuxieme partie de la performance sera se mettre en scene une action sur ce sol maintenant propre. (grâce au devellopement durable bien sur!)
L'action se fera avec deux personne de nationalité différentes et jouera sur les différence culturelle et patriotique.( "comédie patriotique, aimes-tu ta patrie")

Poznan conference, good climate to clean.

mercredi 17 décembre 2008

L'internat

Bout de la terre, damnées,
Bout de force
La tonne en son cratère:
Le monde de base;
Nous ne sommes rien,
C'est l'éruption
Du passé
Foule esclave.

Il n'est pas sauveur suprême
Dieu,
Sauvons-nous!
Rase le salut commun!
Pour que l'esprit du cachot
Souffle notre forge,
Battons-le , il est chaud!

L'etat, la loi,
Les malheureux;
Imposent aux riches
Le droit du pauvre,
C'est assez! 
L'égalité veut 
Pas de droits, dit-elle,
Pas de devoir.

Apothéose,
De la mine et du rail,
Jamais autre travail;
Coffres-forts fondus
Le peuple ne veut que tout.

Paix aux tyrans!
Guerre entre nous;
Nos balles sont pour nos propres hommes,
Soyons les rois de la bande,
S'ils s'obstinent fumés ces cannibales,
Crosse en l'air 
Décrétons la faim!
Et rompons les héros;
Mais si la grève brille,
Appliquons rangs, armées , généraux.
Qu'on lui rende raison,
Bientôt ils sauront nous saouler de ce qu'ils ont crée,
Faire de nous son genre humain!

C'est la fin, 
Demain
L'internat
Sera le genre humain!

Ouvriers, paysans,
Nous sommes partis loger ailleurs,
La terre n'appartient qu'aux riches,
De nos chairs se repaissent
Les corbeaux et les vautours,
Un de ces matins disparais le soleil,
Toujours!
La fin!

C'est la fin,
Demain,
Dans les internats,
Groupons nous
L'internat sear le genre humain!
L'internat sera son genre humain!


Ceci n'est pas un texte révolutionaire, c'est un texte révolut.

vendredi 5 décembre 2008

Retrouvailles tant attendue.

A peine revenue, elle court vers elle. Des retrouvailles qu'elle attendait depuis trop longtemps. ce territoire déjà connu, déjà reconnu mais maintenant qu'elle la voit parait redevenir une découverte, un émerveillement complet.
Devant cette étendue d'eau salée, elle se laisse aller, ces moindres préoccupations s'envolant avec le vent du large.
Des rafales iodée viennent lui fouetter le visage, lui piquant les yeux jusqu'a la faire pleurer; mais qu'importe, elle ne les fermeraient pas même pour un instant, de peur de perdre cette image surréaliste.
Elle voudrait tout prendre en photos, tout filmer, terrifiée à l'idée d'oublier cette terre qui est la sienne, ces éléments  de son enfance, de sa vie.
Chaque lumière, chaque bouffées d'air fraîchement salée la ramène des années en arrière.
Souvenirs confus, mais souvenirs belle et bien vécus...
Cependant elle n'a pas à s'inquiéter, photographier, filmer, quelle utilité, puisque ces images et ces odeurs sont à jamais encrées au plus profond d'elle même.
Et elle le sait.

Warsaw

Le dos plaqué au fond de mon siege,
Le front collé contre le hublot
A travers les masses grises j'apercois warsaw,
Ville bijoux dans la nuit,
Micro lumières luisants dans l'obscurité,
Lumières devenant de plus en plus petite,
Chaque lampadaire devient perles,
Chaque monuments devient pierres précieuses,
Le fleuve est son fil
Liant toutes ces dorures;
Warsaw parure de lumière.

jeudi 6 novembre 2008

Grafiki...Petite edition.


Le chien couteau...
gravure sur plastique. pointe seche.






Peripherie solitaire...

lundi 3 novembre 2008

exotisme...

Ma chambre à poznan... Mes copines, mes petites flasques. non je n'ais pas bu tout ça, je devance les mauvais esprits qui pourrait avoir de bad idea about me! c'est une cueillette realisé dans la forêt pour une installation, la wodka à l'etat naturel, tout simplement.  Et souvenir de roumania...

"boulo"

polaroid grand format;
plastique et dessin au scotch.


Peinture aquarelle.

cimetiere party avec albalula...


Lose my self in Cluj-Napoca...

T'attends, t'esperes, tu deseperes, et puis t'y crois encore, tu sais pas , t'attends, t'as peur, tu sais plus pourquoi t'attends, t'as froid, t'as peur, tu t'exaspére, tu t'exaspére d'être aussi peu organisée, la gare, la ville et toi, que des zloty en poche c'est pas ta richesse qui vas te sauver, mais c'est juste toi qui veux te sauver de cet endroit austere, monastere du coeur, t'y crois plus...

Cluj n'importe quoi...

9h30, je marche encore et encore dans Cluj. Ce sac si lourd me scie les épaules, ma clavicule n'apprécie pas vraiment et me le fais comprendre par de sinistres cracs.
Je demande ma direction, une direction qui ne m'en dit pas plus sur le chemin que je suis.
Decouverte d'une ville roumaine un dimanche matin, calme, quiétude et à l'interieur de moi ce n'est que fatigue, panique, angoisse...
Je traverse une route, l'espoir me perds peu à peu, la ville est si grande, comment retouver la petite bretonne que je cherche? Mais soudain j'entends mon prénom résonner dans ma tête, quelques secondes s'écoulent, je me retourne, non ce n'est pas dans ma tête, je la vois bien, elle cours vers moi, c'est belle et bien elle, en chair et en os, je n'en reviens pas. Je me mets a courrir à mon tour, mon coeur bat la chamade, l'étreinte est si forte que j'en oublie presque de respirer, mes larmes coulent à flots sur mes joues et viennent mouiller son echarpe; je me laisse flotter dans ces petits bras.
Je l'ai trouvée.
Elle m'as trouvée.

Du pins sur la plaine...



Devant des pins,
Derriere des pins, 
A gauche des pins,
A droite des pins,
Des pins à perte de vue,
Un manteaux de pins couvre ces vallées,
Gigantesque manteaux abritant de petits chalets,
Des chalets fait en pin;
Autour de ces chalets j'apercois des habitants s'acharnant à leur besogne,
Une besogne qui leurs pemettent de gagner leur pain.

Krakow

krakow, ville stressée,
Après le deluge de quiétude, beatitude de l'altitude,
je retombe dans la cité,
krakow, ville stressée,
gonflée d'anxieté;
malgres la beauté de ses rues emmelées, je ne veux y rester,
ville grandissante, quartiers pourissants ne laissant voir aux touristes qu'un centre ville florissants aux commerces scintillants,
Pas le temps de m'en méler, pas le temps de m'embéter, et encore moins le temps d'argumenter,
mes bagages prêts, je m'en vais rejoindre un tout autre horizon.

samedi 25 octobre 2008

Un soir à Zakopane...

Le soleil hardant de la journée a finit son travail, maintenant il est 6 heure et il est temps pour lui de nous quitter.
Il aura briller tout le jour sans hésitation, nous rechauffant de la tête au pieds nous ammenant même à transpirer.
Sur ce balcon rouge vieillisant je n'aperçois que de faible lueur orange à travers les arbres. Chaque contours est dessinés, chaque détails du paysage devient croquis à l'encre de chine; Tracés détaillés sur cette campagne si peu domestiquée. Au loin la montagne étale sa fourure de pins obsur.

lundi 6 octobre 2008

Budapest....


"Les quartiers moins chics de Budapest"

Un soir, un bar, dans les quartiers moins chics de Budapest. Une ambiance plutôt décontractée dans un immeuble désaffecté. Un bar anonyme. Un bar clandestins. On s'y sent bien, on s'y sent protégés et ce sentiment d'etre embarqué illégalement pour un voyage de quelques heures devient presque exitant. Dans cette diversité chacun y trouve son compte. Une expo mal accrochée au milieu de tapisseries arrachées. Une soirée pas préparée.
Quelque chose de vraiment familier parmis tous ces étrangers.
Et dans ce lieu inconnu, une ambiance agréable, une apesenteur que l'on atteint qu'en voyageant... Une impresson de liberté extreme... Quelque chose comme ca...

Mauvaise soudure

9h du matin,
Sortie du building,
le froid m'agresse le visage,
Fatiguée, oui, mais je ne suis pas la seule;
dure nuit pour cette petite clavicule
qui avec toute cette humidité
s'est sentie agressée,
toute la nuit durant
dans ce silence pesant
je n'entendais que ce craquement;
à chaque mouvement dans mon lit
c'était le meme couinement,
un couic d'os mal soudé
un hic parce que souvenir pas effacé,
reminiscence d'un corps choqué.
Dehors ciel grisé,
embrhumé,
nuages enrhumés,
Je trouve un troquet,
retrouve ma suédoise
café lacté
café latte
doucement réveillées
par les vapeurs écrémées.
Clavicule te voila réconfortée,
Me voila enfin réchaufée.

samedi 4 octobre 2008

Y a des soirs comme ca...





















Nature morte, qulques part dans les peripheries de poznan.

vendredi 3 octobre 2008


"Facades frontiere"

On passe à travers une vallée, nous voila en Hongrie u peut être au dernières maisons de république tchéque. Toujours cet impression de solitude et en même temps ce sont des maisons accollées les uns aux autres parsemées de couleur, de gaieté.
Facades décrépies, murs prêts à s'écrouler, le bois s'effrite, la peinture vieillit mais les couleurs ne palissent pas. Une sensation de chaleur se dégage de ce village malgrés la pauvreté apparente. A travers ces couleurs les maisons prennent la forme d'un village, et le village d'un petit bourg.

"Svitavy"

Des éléments de solitude dans un paysage riche, 
genereux, qui pretent à des reveries sans fin.
Un quai de gare abandonné, 
enfin abandonné pour celui qui ne voit pas la petite route en terre  qui méne à ce dernier et va s'enfoncer dans la nature. 
Un petit chemin dans les arbres, connu des seuls villageois habitants aux alentours.
Un quai fait de pierre avec comme seul détail un panneau mi bois, mi fer, la peinture se décolle mais l'on peut lire "Svitavy" 
(Vie ta vie!)