jeudi 6 novembre 2008

Grafiki...Petite edition.


Le chien couteau...
gravure sur plastique. pointe seche.






Peripherie solitaire...

lundi 3 novembre 2008

exotisme...

Ma chambre à poznan... Mes copines, mes petites flasques. non je n'ais pas bu tout ça, je devance les mauvais esprits qui pourrait avoir de bad idea about me! c'est une cueillette realisé dans la forêt pour une installation, la wodka à l'etat naturel, tout simplement.  Et souvenir de roumania...

"boulo"

polaroid grand format;
plastique et dessin au scotch.


Peinture aquarelle.

cimetiere party avec albalula...


Lose my self in Cluj-Napoca...

T'attends, t'esperes, tu deseperes, et puis t'y crois encore, tu sais pas , t'attends, t'as peur, tu sais plus pourquoi t'attends, t'as froid, t'as peur, tu t'exaspére, tu t'exaspére d'être aussi peu organisée, la gare, la ville et toi, que des zloty en poche c'est pas ta richesse qui vas te sauver, mais c'est juste toi qui veux te sauver de cet endroit austere, monastere du coeur, t'y crois plus...

Cluj n'importe quoi...

9h30, je marche encore et encore dans Cluj. Ce sac si lourd me scie les épaules, ma clavicule n'apprécie pas vraiment et me le fais comprendre par de sinistres cracs.
Je demande ma direction, une direction qui ne m'en dit pas plus sur le chemin que je suis.
Decouverte d'une ville roumaine un dimanche matin, calme, quiétude et à l'interieur de moi ce n'est que fatigue, panique, angoisse...
Je traverse une route, l'espoir me perds peu à peu, la ville est si grande, comment retouver la petite bretonne que je cherche? Mais soudain j'entends mon prénom résonner dans ma tête, quelques secondes s'écoulent, je me retourne, non ce n'est pas dans ma tête, je la vois bien, elle cours vers moi, c'est belle et bien elle, en chair et en os, je n'en reviens pas. Je me mets a courrir à mon tour, mon coeur bat la chamade, l'étreinte est si forte que j'en oublie presque de respirer, mes larmes coulent à flots sur mes joues et viennent mouiller son echarpe; je me laisse flotter dans ces petits bras.
Je l'ai trouvée.
Elle m'as trouvée.

Du pins sur la plaine...



Devant des pins,
Derriere des pins, 
A gauche des pins,
A droite des pins,
Des pins à perte de vue,
Un manteaux de pins couvre ces vallées,
Gigantesque manteaux abritant de petits chalets,
Des chalets fait en pin;
Autour de ces chalets j'apercois des habitants s'acharnant à leur besogne,
Une besogne qui leurs pemettent de gagner leur pain.

Krakow

krakow, ville stressée,
Après le deluge de quiétude, beatitude de l'altitude,
je retombe dans la cité,
krakow, ville stressée,
gonflée d'anxieté;
malgres la beauté de ses rues emmelées, je ne veux y rester,
ville grandissante, quartiers pourissants ne laissant voir aux touristes qu'un centre ville florissants aux commerces scintillants,
Pas le temps de m'en méler, pas le temps de m'embéter, et encore moins le temps d'argumenter,
mes bagages prêts, je m'en vais rejoindre un tout autre horizon.