samedi 25 octobre 2008

Un soir à Zakopane...

Le soleil hardant de la journée a finit son travail, maintenant il est 6 heure et il est temps pour lui de nous quitter.
Il aura briller tout le jour sans hésitation, nous rechauffant de la tête au pieds nous ammenant même à transpirer.
Sur ce balcon rouge vieillisant je n'aperçois que de faible lueur orange à travers les arbres. Chaque contours est dessinés, chaque détails du paysage devient croquis à l'encre de chine; Tracés détaillés sur cette campagne si peu domestiquée. Au loin la montagne étale sa fourure de pins obsur.

lundi 6 octobre 2008

Budapest....


"Les quartiers moins chics de Budapest"

Un soir, un bar, dans les quartiers moins chics de Budapest. Une ambiance plutôt décontractée dans un immeuble désaffecté. Un bar anonyme. Un bar clandestins. On s'y sent bien, on s'y sent protégés et ce sentiment d'etre embarqué illégalement pour un voyage de quelques heures devient presque exitant. Dans cette diversité chacun y trouve son compte. Une expo mal accrochée au milieu de tapisseries arrachées. Une soirée pas préparée.
Quelque chose de vraiment familier parmis tous ces étrangers.
Et dans ce lieu inconnu, une ambiance agréable, une apesenteur que l'on atteint qu'en voyageant... Une impresson de liberté extreme... Quelque chose comme ca...

Mauvaise soudure

9h du matin,
Sortie du building,
le froid m'agresse le visage,
Fatiguée, oui, mais je ne suis pas la seule;
dure nuit pour cette petite clavicule
qui avec toute cette humidité
s'est sentie agressée,
toute la nuit durant
dans ce silence pesant
je n'entendais que ce craquement;
à chaque mouvement dans mon lit
c'était le meme couinement,
un couic d'os mal soudé
un hic parce que souvenir pas effacé,
reminiscence d'un corps choqué.
Dehors ciel grisé,
embrhumé,
nuages enrhumés,
Je trouve un troquet,
retrouve ma suédoise
café lacté
café latte
doucement réveillées
par les vapeurs écrémées.
Clavicule te voila réconfortée,
Me voila enfin réchaufée.

samedi 4 octobre 2008

Y a des soirs comme ca...





















Nature morte, qulques part dans les peripheries de poznan.

vendredi 3 octobre 2008


"Facades frontiere"

On passe à travers une vallée, nous voila en Hongrie u peut être au dernières maisons de république tchéque. Toujours cet impression de solitude et en même temps ce sont des maisons accollées les uns aux autres parsemées de couleur, de gaieté.
Facades décrépies, murs prêts à s'écrouler, le bois s'effrite, la peinture vieillit mais les couleurs ne palissent pas. Une sensation de chaleur se dégage de ce village malgrés la pauvreté apparente. A travers ces couleurs les maisons prennent la forme d'un village, et le village d'un petit bourg.

"Svitavy"

Des éléments de solitude dans un paysage riche, 
genereux, qui pretent à des reveries sans fin.
Un quai de gare abandonné, 
enfin abandonné pour celui qui ne voit pas la petite route en terre  qui méne à ce dernier et va s'enfoncer dans la nature. 
Un petit chemin dans les arbres, connu des seuls villageois habitants aux alentours.
Un quai fait de pierre avec comme seul détail un panneau mi bois, mi fer, la peinture se décolle mais l'on peut lire "Svitavy" 
(Vie ta vie!)